« Carcasse, tu trembles ? Tu tremblerais bien davantage, si tu savais où je te mène » le Vicomte TURENNE à sa jument carcasse cité par Frederic Nietzsche dans le Livre cinquième du GAI SAVOIR d’Ecce HOMO
Au THEASTRE du ciel
Nuit du vendredi 9 au samedi 10 février 2024
à Paris 00h00
NOUVELLE LUNE EN VERSEAU
Et entrée dans l’année chinoise
du DRAGON DE BOIS
Par le dragon de bois et au lever du coeur,
nous sommes des hymnes polyphoniques, nous pouvons bien entendre siffler les vents et les tempêtes et pourtant trouver une manière nouvelle de bouger dans notre corps jusqu’à devenir une flûte, nous ne contrôlons ni la vie ni les sons ni les oeuvres ni les traces qui jaillissent de nous, et ne voulons pas qu’elles soient contrôlées, nous pouvons être joué.es par les catastrophes et pourtant inventer comment être intraçables et libres au monde, et rire de toute situation, il n’est jamais trop tard pour se délecter de nos contradictions, se délester de ce que nous avons pensé, de ce que nous penserons, de nos croyances, de nos opinions, ou même de nos habitudes, jamais trop tard pour faire vibrer notre présence imparfaite, en dansant ou en disant notre singulière authenticité; qu’elles nous foutent la paix les voix avec ce qui fait en réalité le plus vendre : la trouille, la frousse, la pétoche; car nous avons le droit d’avoir une autre vision de la lutte, et du combat, nous nous battons pour vivre libres, et être heureu.ses, et sous cette lune non pas guerrière mais gai rieuse, cette lune guérisseuse, nous aurons la force de protéger l’aube, et la joie.
Au THEASTRE du ciel
Nuit du vendredi 9 au samedi 10 février 2024
à Paris 00h00
NOUVELLE LUNE EN VERSEAU
Et entrée dans l’année chinoise
du DRAGON DE BOIS
Par le dragon de bois et au lever du coeur,
nous sommes des hymnes polyphoniques, nous pouvons bien entendre siffler les vents et les tempêtes et pourtant trouver une manière nouvelle de bouger dans notre corps jusqu’à devenir une flûte, nous ne contrôlons ni la vie ni les sons ni les oeuvres ni les traces qui jaillissent de nous, et ne voulons pas qu’elles soient contrôlées, nous pouvons être joué.es par les catastrophes et pourtant inventer comment être intraçables et libres au monde, et rire de toute situation, il n’est jamais trop tard pour se délecter de nos contradictions, se délester de ce que nous avons pensé, de ce que nous penserons, de nos croyances, de nos opinions, ou même de nos habitudes, jamais trop tard pour faire vibrer notre présence imparfaite, en dansant ou en disant notre singulière authenticité; qu’elles nous foutent la paix les voix avec ce qui fait en réalité le plus vendre : la trouille, la frousse, la pétoche; car nous avons le droit d’avoir une autre vision de la lutte, et du combat, nous nous battons pour vivre libres, et être heureu.ses, et sous cette lune non pas guerrière mais gai rieuse, cette lune guérisseuse, nous aurons la force de protéger l’aube, et la joie.